Lutte contre l’extrémisme violent : Quel type de coopération bilatérale où multilatérales pourrait venir à bout du phénomène ?

La crise ukrainienne et celle du Covid 19 ont montré les limites de la dépendance vis-à-vis des pays occidentaux. pour la première, des pressions ont été faites pour un alignement diplomatique au risque de se mettre sur le dos une certaine communauté internationale. Ajoutons à cela, la question devenue sensible d’un rapprochement à la Russie.

Les pays africains ont donc intérêt à être dans une autonomie stratégique pour le bien de leurs États.

Cette autonomie stratégique dont faisons cas est définie par l’encyclopédie française comme : la capacité à agir de manière autonome en utilisant ses propres ressources dans les principaux domaines stratégiques et en coopérant avec des partenaires lorsque cela est nécessaire ou préférable ».

Vu sous cet angle, l’autonomie stratégique sera à même de replacer les pays africains sur la scène internationale car ne comptant que sur eux-mêmes.

Compter d’abord sur ses capacités personnelles et de façon opérationnelle il faut une meilleure organisation des outils de défense et de sécurité, avec des formations et de l’entrainement adaptés (maitrise de capacités et d’aptitudes appropriées par les FDS : professionnalisme, COIN…, avec la contribution de forces spéciales, intégrant l’aéromobilité et les technologies adaptées).

La dimension bilatérale et multilatérale s’en trouverait alors facilitées. Dans une telle perspective, on n’aura besoin alors ni de Wagner ni de Barkhane.

By Ib_Z

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